couloirs

Un objectif a atteindre et un obstacle se dresse...
L'un l'affronte tandis que l'autre le contourne... On entre toujours par un côté pour vouloir sortir pas l'autre, ces murs nous conduisent et nous limitent.
Espace réduit nous focalisant sur un but... la traversée est l'objectif a atteindre pour découvrir ce qui se passe au bout...
J'ai toujours l'impression de marché, passant d'un couloir a un autre me retrouvant a des bifurcation... Hésitant toujours et revenant en arrière pour m'assurer d'un retour et de la connaissance du lieu.
Peur de se perdre ou de se lancer dans les couloirs dont je ne pourrais revenir... Sans carte je me fait la mienne dans ma tête.
Espérant toujours trouver du monde dans ce méandre pour faire un bout de chemin avec moi...


29/12/2006

ouverture

Lueur dans la nuit...
Je marche et cette lumière m'attire dans les rues mal éclairées de mon quartier cette vitre éclaire mon passage... Miroir d'une vie ouverte et sans cesse épiée, je passe et m'arrête quelques secondes, ma tête se lève et mon regard se fixe, cherchant un mouvement de l'un des habitants mais rien...
Je poursuis ma route...

28/12/2006

miroir

Déformation et inversion de ce que l'on perçois...
Un brouillard gris, sublimé par une lumière blanche écarlate, j'erre dans ces rue grise...
Tel un zombie, sans goût...
Le manque d'interaction me laisse dans ce décors de carte postale et déambule sans jamais pouvoir vraiment pousser les portes de ses devantures, comme si il n'y avait rien derrière tel un décors de cinéma...
Peur de l'incompréhension? peur de casser un imaginaire...
Je préfère rester dans mon rêve et effleure du doigt ce monde qui m'entoure, je passe et repasse encore...
Imaginant ce que ce salaryman après avoir ouvert la porte de sa maison, ce que cette vieille femme fait en entrant dans ce magasin...
Le rêve est si doux et le sommeil si reposant...

27/12/2006

tertiaire

Tracé au ciel comme sur la terre...
Intimement liée au routes, ces traits les suivent dans un sublime mélange d'enchevêtrement.
Les liant et se séparant sans cesse pour aller d'un bâtiment a un autre puis convergent vers un point ; boite de liaison qui redistribue l'ensemble nouvellement formé sur d'autres chemins...
Une toile se forme alors, l'araignée humaine tissant sans cesse pour s'alimenter, électricité, téléphone, câblage internet et d'autres... Chacun pouvant resté chez soi...
Le secteur tertiaire a trouvé son terrain de jeu...
J'aperçois beaucoup de camionnette de livraison déposé ce que les gens ont commandé, on trouve sur le pas des portes de nombreuses choses, déposé pas les locataire, prises ou échangées pas ces mémé camionnette...
La vie sous ces toile est toute aussi compliquement organisé que celles-ci...
Et pourtant tous a l'air de se porter a merveille...

26/12/2006

repas

Nous voila en ce jour ou tous se réunissent...
Je descend de ma chambre et m'en vais rejoindre les autres...
On me demande de prendre une assiette et de prendre ma pars dans chaque plat.
Une fois cela fais je rejoins le salon et la personne servis en premier. Au fur et a mesure ce salon se remplira et se videra, amenant a chaque fois de nouvelles personnes, les discussions vont bon trains et nous somme plusieurs a regarder les émissions japonaises, tous d'abord un documentaire sur le Noël aux USA, puis un soap-opera qui de par ces accentuations et ses mise en scène entraînera chez nous une hilarité, la dernière chose que je me souviendrait de cet écran sera ce genre de jeu, ou un groupe de jeune réalise des épreuves pour savoir combien de chance il auront d'avoir un cadeau en fin d'émission, qui pour la plupart seront des poussettes ou des landaus...
Les discussions aussi seront animé et au fur et a mesure que le temps passe les bouteilles se videront...
Parlant tous dans un anglais plus ou moins compréhensible... laissant seulement des restes et des miettes...

25/12/2006

Passants

Ils m'apparaissent, me suivant d'abord puis me devançant pas la suite...
Je reste derrière eux, assez près pour les entendre parler et assez loin pour ne pas les voir se retourner et poser leurs yeux sur moi...
Je m'invente leur monde et leurs histoires, imaginant où ils se dirige et ce qu'ils vont faire... Je n'ai pas assez de temps, sinon ma filature aurait continuer pendant des heures, les suivant au pas...
Bientôt...
Pour le moment je regarde ces dos, et ces habits, me demandant a quoi ressemble leurs visages... et je marche, lorsqu'ils tourneront pour traverser la rue et aller se planter devant un distributeur, je continuerai droit devant...
Et plus tard, je les oublieraient d'autant plus vite que je n'aurais jamais vus leur visage...

Porc

Plus je me promène et plus je les aperçois...
Il sorte de partout, de plus en plus nombreux on peux en voir des hordes a certains endroit... Il sont présent dans la ville et les habitants ne s'en préoccupe pas au contraire, il leur font de la place et les mettent mémé en "avant"...
Les prenant et les accrochant a leurs devantures, les aplatissant contre leurs vitrines, les enfermant dans leurs boutiques...
L'année 2007 sera l'année du porc.

23/12/2006

habitudes

Mon rythme a l'air de s'être enfin calmé et posé...
Je me lève maintenant le matin pour me coucher le soir et non plus le contraire...
Une ballade par jour ou je prend des photos...
Une mise a jour de mon monde numérique...
Un repas composé de riz...
Du temps gaspiller a lire, et me divertir...
Plusieurs dessins achevé...
Pourtant si proche de noël, et pourtant si droit dans la régularité, le temps passe et les choses s'accumulent. Je continuerais sûrement tous cela...
Et tous ce passera bien...

Encerclement

Herbe folle, tu pousse a ta mesure...
D'un côté ou de l'autre, tu vas et tu viens, personne pour t'arracher ou te piétiné, tu est chez toi dans cet enclos.
Derrière cette barrière tous t'appartient, et tu pousse et sème tes graines au vent...
Tu t'accumule et ta famille s'agrandit.
Tu cache le sol, et réquisitionne toute la lumière, tu puisse en l'eau ta vie, et regarde les passant pas les trous du grillage. Les chats te regarde de hauts mais même eux ne s'aventureront pas dans tes méandre verdâtre...
De ton domaine tu est la reine, la prêtresse et la bénéficiaire...
Et pourtant derrière cet enclos qui te limite, et dans lequel tu étouffe ce trouve un monde que tu n'imagine même pas...
Peut être un jour tes filles les survoleront grâce au vents porteur et coloniseront un autre lieu semblable au tient, deux domaine éloigné et pourtant issus du même sein...
Tu gémis et te penche sous le souffle du vent qui amène a toi les bruit de la ville...

Crépuscule

La nuit va bientôt tombé...
Je m'en vais sortir, pour prendre l'air et faire tombé sur moi le voile de la nuit. J'aime a marcher jusqu'au pont, descendre les escaliers, et m'asseoir au pied de la berge, écoutant l'eau s'écouler pendant que les lumières de la ville scintillent et vacillent dans le noir qui s'assombris de plus en plus...
Je reviendrais enfin, peu etre en m'achetant une boisson dans un distributeur... avant d'aller dessiner ou voguer sur le web...

tracé

Tiré l'image et le trait d'une chose existante, sur modifier son contour, pour le rendre plus flou, une vibration apparaît...
Le trait pour le contour et le remplissage, a la fois le fond et la forme...

19/12/2006

Réunion

Je doit retrouver bientôt quelqu'un du monde d'avant...
Horaire et lieu fixer, bien sur je prendrai de l'avance, bien sur je me perdrai.
J'arriverai tous de même et une fois les salutations faites, il sera temps de se trouver a manger...
Petit resto, où l'on sert des poissons et viandes crus sur un lit de riz...
Il me faudra manger ces choses blanches et longues et délaisser ces morceau de langues...
La discussion suivra des chemins et parfois des détours, nous emmenant a des choses plus ou moins utiles. Le repas est un bon moment pour discuter et faire connaissance, un restaurant un bon lieu pour se rassembler... Joindre l'utile a l'agréable.
Continuant et regardant de-ci, de la; laissant des promesses et des envies, et attendant les propositions timides et indécises de l'autre...
Promesse de souvenir commun et futurs, dans des lieux appelant la conscience...

Trachée

Je pars pour le nord, là-bas se dressent des collines et des lacs...
La marche est longue, et pour y arriver je dois d'abords traverser un morceau de la ville. Je sort enfin des quartiers résidentiels pour me retrouver dans un parc en contrebas de ces collines, une sorte de marathon s'y déroule, je le contourne et pour cela m'engage dans un escalier au beau milieu des arbres, mon ascension commence...
La voix de la spiquerine, diminue et se fait absorber par l'épaisseur des arbres en pleurs...
Ce qui était un chemin est maintenant un petit sentier que je piste, un itinéraire très peu employer et submergé par les feuilles mortes...
Je monte un moment et commence a descendre, j'avale les collines.
Je tombe plusieurs ois sur des poteaux électriques.
Faisant une boucle la voix de la femme revient à mes oreilles porté par le vent, je pars sur un sentier donnant sur la route, mais bien au dessus. A quelques dizaines de mètres au dessus de ce monde je m'assois et contemple...
...
Puis, je repars enfin, happé par le sentier qui me ramène dans cette civilisation...

17/12/2006

Rougeurs

Je me promène et passe par cet déviation des temples...
Plus je m'y promène et plus j'explore ce lieu de plus en plus loin, au début je ne faisait que de le longer par le côté, maintenant, j'y pénètre et le traverse dans sa longueur mais je n'entre pas dans certain lieu n'y dans les bâtiments...
Ce lieu est comme une femme, on apprend tous d'abord à la connaître, ou explore ses lignes et sont corps de plus en plus, trouvant parfois des choses cachées ou soustrait au simple voyeur. Pour enfin si sentir bien et a l'aise...
L'automne, la fait rougir et parsème ces feuilles rouge vifs sur les courbes de son corps, que tous piétinent et éblouissent de leurs flash...
Je me pose, et l'observe...
J'ai hâte d'y retourner et d'en apprendre plus sur ce lieu...

16/12/2006

Sommeil

...

15/12/2006

Transparence...

Symbole caché ou esprit de la rivière...
Le temps est comme l'eau il s'écoule par dessus lui, il perdure et reste là...
base d'édifice ancien ou de labyrinthe, il se trouve et on le retrouve.
Il nous regarde, déformé par la consistance de l'eau, enfermé et scellé a jamais, il patiente jusqu'à ce qu'on le brise.
Je suis là au dessus, je pose mon regard sur lui puis sur toute cette rivière entouré de verdure et surplombé d'un ciel gris. Le temps se rafraichit et l'eau coule inexorablement dans cette petite cascade, faisant un bruit redondant et austère.
Je m'en vais le laissant patienté encore et toujours seul, lui qui recueil la mélancolie des autres...

confusion

Le temps passe et sera bientôt fini, ma vie se dérègle...
Mon rythme de vie se fait selon mes besoin, manger, dormir, travailler, ne rien faire, regarder... Le système horaire ne me convient plus, et la nuit est égale au jours.
Du travail m'attend, et les jours sont comptés, division la somme des travaux a faire par le nombre de jours restants. Il n'en reste qu'un chiffre, une information, une indication...
La nuit fait place au jour inexorablement et je regarde par la fenêtre les changement de luminosité.
Ainsi je me laisse vivre, ou plutôt je vis...
Sortant quand les rues sont pleines ou vierges, trouvant toujours des magasins ouvert 24h/24h...
Dans ce monde je peux vivre a mon propre temps, et en jouer a ma convenance...

13/12/2006

transformation

Une envie de devenir plus fort, et celle de vouloir revoir les autres...
Il donne ce qu'il a de meilleur, et de par sa franchise et sa pureté, il fait bouger les choses, il est ce que chacun rêverait d'être.
Notre côté combatif et social, notre désir de protéger les autre et d'être reconnus, toutes ces choses sont en lui... Et on reste devant cet écran a le fixer sans même bouger, seul notre imagination s'évade de notre monde de chaînes...
Rêvant ainsi de liberté.
Peluche sacré, et idole vénéré...
Chacun le possède dans un coin de sa vie et dans un coin de son monde...

12/12/2006

adaptation

Viens alors le temps de changer...
On ne peut pas toujours convenir a ce qui est attendus, ou bien même a ce que l'on attend.
Le temps passe et les choses se font avec ou sans vous, il faut suivre le rytme, même si celui-là ne convients pas toujours, donner de plus en plus du sien pour imposer sa façon ou son propre rytme...
Je me pose, et je subis le mien, jusqu'au moment ou je decide de le changer, je fais à ma méthode, juste pour pouvoir vivre...

11/12/2006

promenade

Depuis, un certains temps déjà j'ai pris pour habitude d'aller me promener juste avant la tombé de la nuit...
L'air est moins pesant et les rues toujours fréquentées. Le ciel passe du bleu au noir, dans une infinie pallette de couleur propre a ce pays. Je suis mes "signes" pour me retrouver en des lieux uniques et mystérieux a chaque fois, jamais deux fois le même chemin, si ce n'est celui pour revenir. Et bien des choses apparaissent a mes yeux, qui commence a s'habituer a cette pénombre...
A laffut, je pars en chasse de certaines images ou de certains préjugés...
Pour finir, je rentre, je passe toujours par un combini pour m'acheter de quoi grignoter, toujours ouvert même pendant mes promenades nocturne...
Je rentre enfin, pour me poser dans la petitesse de ma chambre...

10/12/2006

extraction

Un peu retirer et toujours s'étirer...
Je parcours les environs du lieu qui me sert d'hébergement, je pars pour le Nord, en direction des collines. Le temps se couvre et la nuit ne va pas tarder...
Toujours plus de verdure, et toujours plus de pente...
Je grippe et parfois il m'arrive de me retourner pour voir se qui se trouve derrière moi...
Une fois au arrivé au bout d'un chemin je fais demis tours, m'imaginant ou pourraient donner les chemins qui sont en intersection et me permettant de revenir les explorer...
Je tourne sans cesse autour de cet épicentre...
Formant mon "uzumaki" dans lequel je me perd...

09/12/2006

sumo

Personne a pars dans la famille, avec un menu spécial pour lui...
Plus on est gros et lourd plus la marque de respect est grande.
Un peu comme une idole, un peu comme une star et un peu tous a la fois. Dans la logique de la compétition et du chemin de la réussite, suivant des notion patriotique, c'est toute la famille qui est derrière a pousser ce jeune a réussir, plus par renommé familiale que pour autre chose.
Bientôt il partira dans un camps, retrouvera ceux de son espèce, ce qui fut une individualité, quelque chose d'unique se retrouvera être noyer dans une masse, perdant de sa valeur et de sa confiance.
Mais c'est sans compter sur les cadeau de maman, nourriture et curry envoyer par société de livraison.
Un ode a la nourriture...

Reste

Repas achevé,
Je m'endors presque sous la chaleur de la pièce.
Oubliant mes envies et ma tristesse,
Enfin délivré.

L'oeil se corrompt,
Déversant sa sympathique béatitude,
Me plongeant ainsi dans son étude.
Le ventre rond.

Laissé moi a cette misère,
Celle ci j'en fait mon affaire,
Je suis le seul en ce lieu, a garder cet "ici"

La lumière me pique a vif,
Réchauffant mon regard passif,
Me pensé étaient trouble et a présent je revis

oublis

Derrière chez moi une colline...
Je veux y grimper pour voir de quoi il retourne, prend un peu d'altitude et trouver cet endroit rien qu'à moi.
Je marche au hasard, empruntant toujours le chemin qui monte le plus. Je me retrouve dans un cimetière, des pierres se dressent les une a côtés des autres, parfois orné de papiers ou de bois... Je passe par le côté pour les contourner et suivre ce petit chemin qui les surplombe. Je me retrouve a l'abri des branches et en plein milieu d'autres tombes...
Je veux continuer de gripper, je passe par dessus m'accrochant a des arbres et foulant une pente de terre recouverte de feuilles.
Plusieurs mètres en amont je me retrouve face a cette stèle dégarnie, isolé du reste et entouré d'arbres morts.
Je me retourne...
Un trou est formé parmi les arbres et je peux apercevoir les toîts de la ville, et je ne peux monter plus haut...
Je m'arrêterais là pour aujourd'hui avant de redescendre et de laissé a nouveau cet endroit abandonné a lui même...

collection

Le temps passe et le ventre ne se nourrit pas de vide...
Au détour de mes marches je peux souvent trouvé des lieux pour acheter de quoi grignoter, pas de bonbon, mais beaucoup de choses a base de chocolat.
Pour accompagné cela, beaucoup de soda, venus d'ailleurs et beaucoup d'ici.
Les bouteilles se vident et s'accumulent, je stocks ses choses que j'apprécie ou non, pour peut-être bientôt les classer par grandeur, capacité, ou plaisir a consomer...
J'emprisonne un peu d'air d'ici, récipient de mes expériences, et prison de contemplation.

Attente

Le son s'est arrêté, et la foule aussi...
Dans ce petit moment, chacun repense a sa journée, et ait ces choix. Seul le mouvement des voitures perturbe cette nature morte et me fait sortit de ma rêverie.
J'ai pris l'habitude de ce chemin et il est devenus une chose que je maîtrise, plus besoin de se demandé par où aller et quel trottoir emprunter. Il ne reste que nous même sur celui ci, pas d'échange de regards.
Souvent le regard baissé.
Et creux, pour ne laisser qu'un avatar de jeu Sans consistance, une poupee sans essence...
Puis le son revient, et le vert fait surface...
A nouveau les corps bougent et reparte pour finir ce qui leurs restent de vie.
Au jeu des statues, plus jamais je ne veux jouer...

04/12/2006

Le guide

Je passe et traverse, et il me guide...
Il est là, m'apportant des informations et m'indiquant des blablabla-dori, me donnant une anecdote sur un lieu et se rapportant a des manga. Je l'écoute et reste derrière lui...
Je me retrouve alors dans des rues et des magasins aux couleurs flashy et aux décorations rétro. Je ne me souvient pas du passage et du mouvement, seul reste a mon esprit les formes et les sons...
Bip... bip... bip...
Je suis dans mon parc d'attraction, voulant tous tester sans jamais oser.


03/12/2006

Rayure

Un peu de moi et un peu comme moi...
Suivre ces ligne qui sont autant de chemins possibles, je me retourne et en voit encore bien d'autres, je fais mes choix et j'avance, puis j'observe... Comme si j'étais moi-même un choix, une façon d'agir et de prendre en compte des possibilités.

03/12/2006

Lost

Être méchant c'est bien...
Perdus, par le décalage horaire, perdus pas le dépaysement, perdus par la façon de vivre...
Je erre dans ma chambre a chercher le sommeil, la nuit et a perdre ma journée a avoir trop dormis.
Je ne reconnais pas ce plafond et mon esprit ce mais a travaillé et bientôt les envies et la motivation s'en iront, j'espère que d'autres choses les remplaceront.
J'écoute cette musique en boucle...
Mon esprit s'égare encore et le reste n'est que patience. Un voyageur seul, et qui a peur de l'inconnu et qui pourtant se jette dans le vide...

sublimation

La ville est a l'image de ceux qui l'habitent...
Je retourne a cet endroit que j'apprécie tant, entre le 8eme et le 9eme étage. Puis je monte un peu plus haut pour avoir une vision plus vaste et qui découle des murs. Je m'assois et je ne peut que contempler.
Puis arrive, cinq collégiennes, et un professeur ou un accompagnateur, je ne sais pas trop...
Mais a leurs façon de se comporter je peux voir que ces jeunes filles sont comme moi, et qu'elles découvrent cette ville. Peut être viennent elles d'une ville plus petite...
Cet homme qui les accompagne agit comme un guide.. Leur expliquent des choses que je ne comprend pas et après un cours instant photo, sur cette "porte du ciel" ils redescendent et disparaissent dans l'une des boutiques...
Moi je suis là et je n'ai pas besoin de guide, encore quelques minutes et je repartirai dans cette foule sans cesse en mouvement, et j'irai me faire happer par l'entrée du métro...

chantier

Un peu de tous être beaucoup de rien...
Les idées se bousculent dans ma tête, et les envies s'échappent sur le papier. bientôt mon esprit sera ailleurs et il faut que je me cramponne sur cette ligne.
Je cherche et recherche sans cesse ce qui me faut, ainsi mon crayon se répands dans la poubelle...
Je test et je trouve parfois, la chose qui fera que ma rayure aura de l'allure.
Je ne me connecte pas, des fois l'oeil sur une image importé, des fois dans mes souvenirs, tous est bon à prendre et tous et bon à retendre...
Je me concentre encore un peu avant que tous ne me glisse entre les mains, je m'attarde un peu ici, et jamais vraiment dans mon coin à moi...
Je me laisse porté par ce courant, et je sombre...
Allongé sur mon futon, la lumière me brûle les yeux, et je m'endors...

éclatement

Trouver un espace dans lequel on ne se sens pas poisson rouge, cet espace qu'il nous faut pour survivre...
Il ne doit pas forcement appartenir à une seule personne, il doit juste nous convenir, et on doit se sentir à l'aise et libre de ces mouvements... Un espace ou l'on observe et ou l'on est observé...
Je suis dans ce dôme, la lumière transparaît et le son de la foule résonne avec celui des installations électroniques dans un brouhaha qui me berce, le vent s'y engouffre et me fait vibrer. Plus le temps passe et plus la lumière artificielle, fait place au dernier rayon du soleil et le mouvement de foule s'atténue... Les gens s'arrêtent et viennent se posé près de moi pour observer le spectacle que nous offre cette fusion de la ville et de la nature.
Certains prennent des photos et d'autres se serrent contres d'autres, et moi je suis là seul parmi cette foule et je rêve...

Écoulement

Pleins de résolutions, qui s'écoulent avec l'eau de cette pluie...
Elle tombe sans relâche et mes envies sont stoppés, je la regarde s'écouler sur ma vitre, elle pleure pour moi.
Je doit pourtant sortir...
Je marche moi l'intrus, celui qui n'a pas de parapluies, je marche. Les gouttes s'infiltrent dans ma veste, et après avoir inondés ma chevelure, s'échouent au bout de mon nez...
Je me sens pourtant plus léger, sous cette pluie je cherche mon coin de paradis...

Effacement

Plus le temps passe et plus je me sens me fondre dans une masse...
Comme si je n'avait plus d'âme, comme si je n'étais plus rien.
Je ne suis plus ce que j'étais, je sis devenus incomplet, mon visage font et mon identité se dérobe...
Pratique pour passé inaperçus et vain pour se donner une image...
Je suis là pourtant et mes bras en l'air s'agitent pour appelé au secours, mais personne ne viendra... je resterais ici jusqu'à l'heure promisse.
Je m'efface et me dissous pour ne faire plus qu'un avec le monde qui m'entoure...

Tourne

Suivons ces lignes et regardons de quoi il retourne...
Je sors d'une sorte de brocante, du tous et pas grand chose. Mais j'aime bien traîner dans les magasins et la foule, me fondre... même si être étranger et faire plus de 1,80m ça n'aide pas.
Me caché et observer les geste de l'un et m'imaginer ce que va faire l'autre avec ce qu'il vient d'acheter.
Les petits tics et petites manières de chacun, pour pouvoir m'y exercer et les copier pour qu'elles deviennent miennes... En en prenant un peu partout je me forge ma propre image et mon propre style...
Ne pas avoir de style, ou plutôt un peu du style de tous le monde, c'est mon moyen de passé partout et de ne pas avoir les oreilles qui sifflent...
Je suis comme ça, un caméléon des rues, et je tourne en rond, je tourne pour ne pas rester sur place mais je reviens inexorablement a mon point de départ...
Mais au moins j'ai voyagé et vues des choses...

Reflète

Sortit tous droit d'un jeu elle ralentie et commence à se ranger...
Bientôt un homme en sortira, il enjambera la barrière qui mène a ce jardin d'enfant (comme si les enfant poussaient dans des jardins) il se dirigera vers cette cabane en béton.
Il fera un petit détour avant d'y entrer, il enlèvera ces gants blanc, le pliera et les rangera soigneusement dans la poche de sa veste.
Il s'arrêtera là... ou tant d'autres avant lui se sont arrêté, et il pourra se sentir libéré...
Après quelques secondes où quelques minutes il ressortira des toilettes...
Il remontera dans sa voiture et c'est ainsi qu'un autre véhicule prendra sa place...
Manège incessant de voitures colorés et d'homme bien habillé...

Suspension

Instant incertain... et illumination.
Je marche, je continus de marche, a chaque moments pénibles de ma vie je marche...
Le brouillard se disperse sur la chemin du plein air, et on a de la chance d'apercevoir son astre...
Puis l'idée vient, donne le choix et rassure...
Je continus de marcher...
Cela passer, il ne reste que le geste, les idées sont partis, toutes les idées.
Puis enfin on se retrouve.
Sortons et marchons, il ne nous reste que ce choix... alors je marche

Blocage...

Voilà un certain temps que je ne bouge pas...
Seul, dans la pénombre... a la lueur de ma lumière je pense.
Cela fait plusieurs jours que je n'ai pas vus la lumière du jour, je me lève quand le soleil se couche et je m'endors avant qu'il ne se lève. Un être de l'ombre... le temps passe pour moi comme un point et une envie de "vie" se fait resentir, je serre les dents...
Bientôt mon corps demandera plus, bientôt je serait recroquevillé sur moi-même.
Nourriture instantané, au début asséché... je la dévore, j'en absorbe l'énergie vitale, il m'en faut peu pour rester dans cet état...
Ce décalage me plonge dans la nuit... Instants où je ne sais quoi faire, je fixe mon plafond, il ne changera pas...
Le poil pousse, et le ton blafard de cette fenêtre projette sur moi sa lumière artificielle...
Il me faudra bien à un moment me mettre dans le rythme, et vivre...
22/11/2006

Blaze...

Reflet d'une identité, représentation de la personne...
Signe distinct et pourtant apposé sans être vus, crier qui on est tout en restant dans l'ombre.
Je passe cette porte, ma porte regulierement et mes yeux ne sont plus attiré vers l'étalage de ces couleurs et de ces formes...
Je passe sans même plus regarder, et pourtant là je lève les yeux...
Sur cette porte en piteuse état ce trouve cet ensemble de signe qui m'est si familier, parmi ces stickers trône mon prénom...
Écriture noire sur papier blanc.
je ne me lasse pas de le regarder, ce petit bout de papier, fais de l'endroit qui se trouve derrière ; mon appartenance, même si cela est temporaire...
Je suis dans un lieu qui est chez moi... je suis enfin de retour chez moi.
Lieu calme ou je suis le monarque de tous ce qui si trouve, pouvant mené ma vie a mon rythme et selon mes humeurs...

21/11/2006

Idem

C'est un peu comme si je n'étais pas partis...
Plus je marche et plus je rencontre sur les façades que je longues des mots qui ne me sont pas inconnus, mais je ne comprend pas toujours le sens...
Un code..., oui, sûrement...
La seule chose à faire c'est de continuer à marcher sans se faire absorber.
Ils ne sont que illusions, des fantômes de ces choses que je connais.
Pourtant quand je les regardes c'est un peu comme si j'étais là ou je suis d'habitudes...
Les "anges" un mots si doux pour une chose si impalpable, je n'en comprend déjà pas tous le sens... peut être qu'ici en savent plus...
Je n'ose pas pousser cette porte ayant peur de ce que je pourrais découvrir...
Je continus de marché ayant toujours peur de tomber dans leurs pièges...
Avance...

20/11/2006

Passerelle

J'arrive en ce lieu pour la première fois...
Un chat aux yeux plats discute avec des grillons, je m'assois.
Je suis a present dans une grotte, un drôle d'oiseau se presente a moi dans un charabia imcompéhensible, puis arrie surement uen de ces amies...
Je me cache dans un coin.
Elle ne ma pas vus, les deux commères ne cesse de pialler, et font comme si je n'était pas là...
Je les observes un moment, je me retrouve dans mes pensées...
Qu'est ce que je peux bien faire ici? Et qu'est ce que je vais faire a present.
Les minutes se passent...
Je relève la tête saisit cette objet près de moi,
et j'eteind la télévision.
Je m'en vais.

Photos en construction...

Echange d'un lieu a l'autre et passage...
Des règles pour un jeu...
Une photo a-t-elle le même sens partout?

Bientôt la suite...

18/11/2006

Sens???

Je marche ici et je marche là...
Depuis que je marche ici, je me pose ctte question :
Comment marche-t-on?
La route ne sert qu'aux voitures.
Les vélos sont sur les trotoires.
Il n'y a pas un trotoire pour un sens, donc sur un trotoire on vas dans les deux sens...
Piétons et vélos confondus cela fait 4 types de passage sur un seul et unique trotoire pas plus grand que chez nous...
On roule a gauche... mais est-ce que l'on marche aussi dans ce sens?
A suposé que oui, car ca serait logique que les vélos et les piétons qui vont dans le même sens fassent cela du même côté du trotoire.
Alors entre un élo et un piéton, lequel des deux sera le plus a gauche?
Si c'est le piéton, alors si on a 2piétons et 2 cyclistes en même temps alors les cycliste risque de se rentrer dedans...
Si c'est le vélo, il risque de tapé contre le mur si il effrait le piéton...
Tous cela n'a pas de sens et je prefère marché a ma manière... c'est a dire de marché au milieu et d'aller d'un coté ou de l'autre suivant la situation...

Mais si tous le monde faisait comme moi?

17/11/2006

Intersection

Au detour du passage, à la croisé des chemin et lieu d'arrêt...
Ce lieu, ou chaqu'un fait a sa sauce son petit manège. Tous ce trouve ici pour nous aidé et tous se melange dans des senteurs frénétiques...
Cet endroit où l'on rencontra au hazard chaqu'un des habitant, ceux-ci ayant leurs habitudes et leurs horaires... Il faudra bien les étudier pour connaitre leurs petits trucs...
Pour le moment, je frémis et je m'attèle a faire revenir ces morceaux de chaires mortes...
Cette panse remplira la mienne, et mon destin ne sera pas de finir comme elle, alors je la regarde se flétrir, se resorbé et siffler dans ces derniers instant...
Bientôt, je serais posé et ma bouche se delectera et ora une occassion dans cette journée de servir...
Quelqu'un passe, nous echangeons quelques mot, ainsi commence ou continus le balet qui se deroule ici depuis longtemps...
Je repartirai et serai obligé de revenir sous peu, m'immaginant ce qui aura changé de position, et ce ceux que je pourrai trouvé là a attendre...

16/11/2006

Brouhaha...

J'arrive et on m'installe...
Me voila a cette table dos au comptoire et devant moi dans cette athmosphère sombre et pesante... : des gens...
Je commande un chocolat, biens sur celui la oar refroidit bien avant que je m'en aille.
Et de cette obscurité monte un bruit de fond qui se fait de plus en plus grand depuis que je me suis arrêter de me parler a moi même. Il monde et se repercute sur ces murs blanc, se servant de la lumière et de l'ombre pour me surprende et se trouvé là où je ne l'attend pas...
Ce sont ces mots que je ne comprend pas et qui se melange avec ceux de la table d'à côté, ils viennent et repartent comme des vagues et au bout d'un moment ils ne sont plus qu'un simple bruit de fond, une ambiance qui s'ajuste a la luminosité du lieu...
Parfois, sortant de cette mélodie un rire... percant, et le flot redevient ce qu'il était me laissant a mes pénsées et a mon occupation...
Je repars laissant ce lieu, comme il est et me jurant dit revenir bientôt...

15/11/2006

Defilement...

Avancons sans cesse et decidons de notre voie...
Un tissage de chemins, de parcours, de choix et de rencontres...
On ne peut pas toujours allé en arrière mais on peut toujours allé de l'avant. Où même de rester sur place et d'observer, ne pas ce precipiter et attendre.
Regarder les autres faires pour en apprendre sur leurs erreus ou la justesse de leurs choix.
Mais il faudra bien se lancé un jour, car un nuage d'une grisseur intanse nous poussera, il nous fait plus peur que de violence, mais sa nature même est pour nous effrayante.
Alors, nous parcourons ces lieux en perditions jusqu'à obtenir une reponse qui nous satusface et en rencontrant ceux qui nous ressemblent ou nous attirent...
Le temps sera alors clair, comme nos idées et c'est alors qu'on pourra se satisfaire du gout de notre sake...

14/11/2006

"Portail"

Tous pres et pourtant si loin...
Comme celui qui reste enfermé séparé du monde et qui pourtant en est ouvert a mille autres, cette fenêtre me fait face et m'ouvre la voie vers ne nombreuses choses...
Lieu de perdition et de decouverte permante, je me laisse déambulé dans cet espace destructuré sans bougé de mon siège et le temps passe...
Ici le temps n'a pas d'emprise et on apercois souvent des lieux abandonés ou delaissé, mais qui alimente ces mondes en sans cesse croissance...
Un objet,
Un concentrateur, et ouverture sur ces mondes...
Sans lui la porte reste close et nous oblige a sortir de ce lieu que l'on croit sécurisé et a découvrir un monde qui nous parait fade et sans goût...
Laissé moi encore un instant ici, je contemple ce que je perdrais un jour...

Choix coloré...

Cela fait un certain temps que j'arpente ces rues, et je peux voir que cela soit le soir, ou au petit matin, ces balises luminescente éclairé mon chemin...
Toujours bien placés et toujours bien fournies... Il en jaillit des lumièrer et des couleurs venus d'un autres monde...
Que cela soit chaud ou froid, on peut toujours faire son choix...
Je serai que tu est la, quand j'aurai besoin de toi...
Immuable et immobile tu ne bougera jamais sans avis.
Oh mon ami...

12/11/2006

Rentrons...

Je sors d'une conference a l'institut...
En y rentrant il faisait encor jour, et me voila en pleine nuit. L'ombre s'abat ici comme une tempete violente sur mon âme, les lumierères des rues bourgeonnent et il me faut rentrer...
Je marche et dans la froideur de ce noir profond mon esprit se libère, il a toujours été plus libre quqnd il peut se refugié dans les brs de l'obscurité, et je me surprend à levé les yeux sur ce monde qui m'entoure...
Le vent souffle et pose sur ma peau cette douce caresse nostalgique...
Rentrons, rentrons, rentrons...
Bientot, au hazard d'un coin de rue je trouverai une superette ouverte dans laquelle je macheterais un petit "bento", rentrons...
Bientot, je passerai par un chemin sans lumiere au milieu des pierres et des arbres, rentrons...
Bientot, je serai dans ce "chez moi" et je pourrai deguster ce premier repas "à la japonaise" en regardant le livre que j'ai emprunté, rentrons...
Rentrons, rentrons, rentrons...

11/11/2006

Un peu de montagne...

Pas d'envie de bouger, mais des envies d'encore...
Le jour s'est levé depuis bien longtemps et la journée s'est passé sans que je ne fasse rien pour la retenir, juste une envie d'encore...
Je me leve a moitié endormis et une partie de moi est resté dans ce rêve d'où je ne voulais pas partir, mais le mal est fait c'est plus l'ombre de moi même qui s'agite entre ces murs...
je me stop... debout...
J'attend, je ne sais pas tres bien ce que j'atend mais je l'attend...
Devant moi ces affreux rideaux, je les ecarte... mais ce n'est pas cela que je recherche, je tombe nez à nez sur cette vitre opaque sensé protégé mon intimité, mais cette vitre m'étouffe, sa presence m'étouffe...
Je l'ouvre croyant me retrouvé enfin libre mais c'est peine perdus, encore un obstacle...
Une grille, je la pousse sur le coté comme l'obstacle precedent... et je me retrouve enfin a l'air libre...
Comme, si d'avoir une fenêtre sur l'exterieur augmentait cet espace qui me devient alors lieu de repos et de contemplation...
Des maisons se trouvent dans cette "ouverture" et elles sont toutes différentes, au loin je peux apercevoir une montagne...
Immédiatement mon esprit ce calme...
Ma furie et mon envie de fuir se sont retrouvés anéantis face a cette chose, je me sens mieux... je vais pouvoir retourné dans mon rêve tranquilement...

10/11/2006